À chaque rentrée, un certain nombre de Français partent vivre à l’étranger. Même si l’épidémie de coronavirus va modifier la donne, cette année encore certains iront travailler ou étudier hors des frontières françaises. Comment rester joignable sur son portable pour ses proches ou pour ses relations pro ? Comment bénéficier d’un numéro étranger pas trop cher sur mobile ? Et comment rester flexible alors que la crise sanitaire se poursuit ? Autant de problématiques sur lesquelles Onoff peut aider.
Ces Français qui partent à l’étranger
Qui sont ces Français qui partent à l’étranger chaque année ?
Les étudiants
90 000 étudiants sont partis à l'étranger sur la période 2011-2016. Ce qui place la France au sixième rang mondial des mobilités sortantes pour les étudiants après la Chine, l'Inde, l'Allemagne, la Corée du Sud et le Nigeria. Des étudiants mais aussi des apprenants partis pour un stage, un apprentissage ou un bac professionnel. La plupart font des séjours courts de deux semaines à trois mois maximum.
Si l’Europe a la cote avec près de 7 étudiants sur 10 qui choisissent un pays de la région, de nouveaux pays attirent, notamment grâce au programme Erasmus+. Parmi les destinations qui attirent hors Europe, on trouve le Canada (3e destination des étudiants français), le sud de la Méditerranée (Maghreb principalement), l’Europe de l’Est (avec l’Ukraine) et l’Asie (Chine, Japon, Vietnam, Indonésie…). On trouve aussi quelques étudiants français dans les Balkans, la Russie, et l’Afrique.
Le Brexit a joué un rôle sur la mobilité des étudiants. Si environ 14 000 d’entre eux sont partis en Grande-Bretagne en 2018, ils n’étaient plus que 11 656 pour la rentrée 2019. C’est l’Espagne qui en a profité en devenant le pays le plus plébiscité par les étudiants français.
Les Expats
À côté des étudiants qui préparent leur rentrée à l’étranger, 2 millions de Français ont choisi de s’établir hors des frontières de la République. Selon une étude menée par OpinionWay et l’Union des Français à l’Étranger (UFE), ces derniers sont majoritairement des diplômés (55 % disposent d’un diplôme au moins égal à un Bac + 5, contre 13 % des Français habitant l’Hexagone). Ces expatriés sont aussi plus actifs que la moyenne nationale : 68 % d’entre eux occupent un emploi, ce qui n’est le cas que de 57 % des Français âgés de plus de dix-huit ans. Ainsi, on trouve chez les expats une part importante de chefs d’entreprise, d’indépendants, de commerciaux et de professions libérales.
Souvent serial expatriés, plus de la moitié des Français qui ont vécu à l’étranger (56 %) ont été dans plusieurs pays. Et plus on est jeune, plus ce phénomène s’accentue. La moitié des expatriés s’envolent pour l’Europe et les autres s’orientent vers l’Amérique du Nord (USA et Canada). Les raisons du départ ? Le travail et l’amour ! 39 % des répondants affirment s’être expatriés pour saisir une opportunité professionnelle et 25% évoque l’amour. Ce qui fait écho au million de bébés “Erasmus” revendiqué par la Commission Européenne dès 2014.
Le chef de division des migrations internationales à l’OCDE voit dans cette dynamique un rattrapage. Car en 2016, la France avait un taux d’expatriation de moins de 5%, très inférieur à bien d’autres pays. Mais ceci c’était sans compter sur la crise sanitaire.
L’influence de la crise sanitaire
La crise sanitaire pourrait rebattre durablement les cartes de cette expatriation. Pour ne pas s’éloigner de ses proches, plusieurs ont renoncé à leur voyage.
Pour les étudiants, les scénarios de rentrée sont encore ouverts. Le magazine L’Étudiant en répertorie trois. Dans le premier scénario de rentrée, toutes les frontières rouvrent. D’ailleurs, les universités encouragent les étudiants à poursuivre leurs inscriptions normalement. Elles sont nombreuses à prévoir des cours à distance, au cas où… Scénario de rentrée 2 : seule l’Europe reste ouverte. Un scénario plus probable mais les universités et les gouvernements restent décisionnaires. L’idéal est de prendre contact avec le service des relations internationales de son établissement scolaire pour en savoir plus. Les écoles et universités assurent qu’elles accompagneront et soutiendront les étudiants soit en leur trouvant une autre destination si les frontières ferment, soit en proposant un report de mobilité. Scénario de rentrée 3 : dans le pire des cas, les séjours à l’étranger pourraient être tous repoussés à l’année prochaine. Là aussi, ne pas s’affoler. Les écoles et universités où ce passage à l’étranger est obligatoire n’en tiendront pas rigueur aux étudiants.
L’envie de partir est bien là. Les possibilités plus incertaines. Parmi les démarches compliquées à prévoir : l’obtention d’un numéro étranger pour rester joignable sur mobile.
Numéro étranger : la galère des portables
Partir à l’étranger suppose de réorganiser sa vie sur place et avoir un numéro de portable fait partie des incontournables. Comment bien préparer sa rentrée ? Quelle option choisir ? Prendre un forfait du pays ? Oui, c'est surement la meilleure idée si vous ne voulez pas payer vos communication locales trop chères, mais alors, pour ne pas perdre son numéro français, on paye deux abonnements. Et nous voilà engagés sur plusieurs mois alors même que l’on fait un court séjour, voire que l’on n’est pas sûr de pouvoir rester. Prendre des cartes prépayées ? On se retrouve avec deux cartes SIM à gérer (et à ne pas perdre).
Avoir un numéro étranger sans perdre le français avec Onoff
Grâce à ses numéros de portable basés dans le cloud, Onoff propose une solution flexible et économique pour faciliter les séjours à l’étranger.
Garder son numéro de portable français à l’étranger
Vous prenez un forfait dans votre pays d’accueil et vous voulez continuer à accéder aux appels sur votre numéro français. Pas de souci : Onoff permet la portabilité des numéros mobiles dans le Cloud, pour un abonnement à 3,49€ seulement. Ainsi depuis l’étranger, vous pourrez recevoir les appels sur votre numéro de portable français, au tarif local, sur votre smartphone. Pour cela, il suffit d’avoir l'application Onoff et de vous connecter à votre compte.
Préparer son arrivée grâce à un numéro de portable étranger
Pour toutes les démarches avant votre arrivée, au lieu d’utiliser un numéro Français et de payer des frais, vous pouvez utiliser un numéro étranger Onoff et payer vos communications à un tarif local. Pour cela, rien de plus simple. Il suffit de télécharger l’application depuis l’appstore d’iOS ou Android, puis de choisir un numéro parmi plus de 30 pays disponibles. L’abonnement (entre 10€ et 20 € par mois selon les pays) est sans engagement. Vous obtenez un numéro étranger et communiquez au tarif d’une communication française. Ainsi vous recevrez les appels sur votre numéro français et votre numéro étranger sur le même smartphone.
Vous voilà équipé, grâce à Onoff, avec la possibilité de couper votre numéro étranger à tout moment. N’oubliez pas de vérifier que vous avez le bon chargeur et le bon adaptateur. Et vous voilà joignable d’un peu partout.